dimanche 30 septembre 2018

Rétablir les liens

C’est dit. Un des plus grands cancérologues de France, le professeur Kayat, vient de reconnaître ce que le tant décrié et persécuté Ryke Geerd Hamer a découvert il y a plus de 30 ans : une maladie comme le cancer peut être provoquée par un choc émotionnel si celui-ci est vécu dans la solitude et le non-dit. Dans ce cas, c’est le corps qui s’exprime : le mal-a-dit. Cette reconnaissance est une révolution car elle montre l’absurdité et le danger d’une médecine qui se limite à découper le vivant en morceaux et oublie les liens entre le physique et l’émotionnel, le corps et l’esprit, l’être et son environnement. 

Nous le savons aujourd’hui : la médecine industrielle tue. Après le cancer et les maladies cardiovasculaires, elle est devenue la troisième cause de mortalité dans les pays dits « civilisés ». Elle a remplacé les médecines naturelles, qui perçoivent le vivant comme un ensemble en les mettant à l’écart, jusqu’au point de détruire l’herboristerie et l’homéopathie. Tout ce qui ne coûte pas assez cher ou n’est pas brevetable et n’engraisse donc pas ce monstre à l’appétit vorace qu’est devenu l’industrie pharmaceutique, est successivement exclu des prestations de la sécurité sociale. 

Nous ne sommes pas dupes. Nous commençons à nous apercevoir que les monstres ne se trouvent pas dans un corps qui développe une maladie et qui essaye juste de communiquer son mal afin que l’ensemble puisse retrouver son équilibre. Les monstres sont les commerçants et leurs vassaux souvent bien camouflées qui tentent de nous vendre leurs recettes toutes faites et de nous persuader que les forces de guérison se trouvent forcément à l’extérieur de nous. 

Les voiles devant nos yeux commencent à se déchirer et nous voyons que le roi est nu. Personne ne peut nous vendre bonheur, prestige et santé. Tout ce dont nous avons besoin pour vivre épanoui et en bonne santé se trouve en nous. A nous de prendre enfin la responsabilité pour notre corps et l’être que nous sommes. Personne d’autre ne peut le faire à notre place. N’écoutons plus ceux qui d’obstinent à confondre responsabilité et culpabilité. Libérons-nous des tentacules du très vieux trio infernal de la victime, du bourreau et du sauveur qui nous rattache au passé. Prenons notre vie en main en prenant soin de nous, maintenant.

Faisons usage de notre libre arbitre et voyons les possibilités que nous avons en choisissant de nous tourner vers l’instant présent. Guérissons-nous en rétablissant le lien entre nous et notre environnement, nous et les autres, nous et nous-mêmes. Car la séparation est le plus grand mal dont nous souffrons actuellement. Regardons autour de nous et prenons ce qui est là : l’air et l’eau sont encore frais par endroits, les plantes et les animaux sont encore vivants et le ciel est encore bleu les jours où les longues trainées blanches ne le couvrent pas.

Ainsi nous comprenons que nos corps et notre environnement ne font qu’un. Nous ne croyons plus ceux qui tentent de les détruire avec leurs poisons, par ignorance, par avarice ou par cruauté. Peu importe quand il s’agit d’un crime contre l’humanité. Nous savons que nous avons le pouvoir de donner une autre orientation à nos vies et que personne ne peut nous en empêcher. Nous avons les fils entre nos mains et nous ne pouvons pas dire aux générations qui nous suivent, s’il y en a, que nous ne savions pas.

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